Jim et Niagara

C’est un beau moment quand la femme comprend que l’homme qui la possède est son Maître d’Amour et que l’homme comprend que la femme qui pose sur Lui un regard voilé par les larmes, est son Esclave d’Amour : l’Accord Parfait du Maître et de l’esclave, le Lien Parfait.Le sexe est un moyen de contrôler l’esclave ; il est aussi utile que les chaînes et le fouet. Le Maître peut se servir de ces plaisirs pour en faire sa partenaire impuissante et son esclave. Elle s’abandonne comme elle le doit. L’esclave est à la merci de son Maître. Il la traitera non comme elle le souhaite, mais exactement comme Lui le souhaite. Il la traitera conformément à ce que désire sa nature. Il doit être fort et il doit être capable de la punir si elle n’est pas agréable. Le bon traitement d’une femme consiste à la traiter comme Il en a envie : il y a des dispositions génétiques à la soumission dans toutes les cellules de son corps, fonction de sélection naturelle et sexuelle. Par conséquent, ce qui serait considéré comme brutal et irrespectueux par un homme peut apparaître à la femme comme une dimension de sa nature, la preuve irréfutable de sa possession par Lui, de la domination qu’il exerce sur elle, ce qui la fait frémir jusqu’au tréfonds d’elle-même, parce que ça touche le sens biologique antique de sa féminité. Il se sert simplement d’elle pour Son plaisir, parce qu’il en a envie. Il est le Maître
L’esclave passe des heures pendant lesquelles elle n’a pratiquement qu’à attendre son Maître. Elle se prépare, fait des projets, elle espère.
Quand son Maître arrive et qu’elle s’agenouille à ses pieds, elle est impatiente et inquiète, vulnérable et stimulée, tout à fait prête, physiquement et psychologiquement pour la domination à
laquelle elle se soumettra joyeusement. L’esclave désire plaire à son Maître. Lorsqu’Il la complimente, elle sait qu’elle Lui a plu. Cela la rend heureuse, non seulement parce qu’elle sait
qu’elle ne sera probablement pas punie, mais parce que dans son cœur, étant femme, elle désire sincèrement faire plaisir à Celui qui est totalement son Maître.
-Celle-ci annonçai je
-Maître souffla Audrey
Je gagnai mes fourrures, me débarrassai de mes vêtements
et m’allongeai sur mes fourrures, dressé sur le coude.
Audrey resta à genoux à l’endroit où elle se trouvait bien
qu’elle n’ait pas cessé de me regarder.
Je montrai mes fourrures. Elle rampa jusqu'à elles,
la tête baissée, et s’allongea timidement prés de moi
-Sur le dos ! ordonnai je
- Tu es une jolie esclave, dis je
-Merci Maître, il y a longtemps que j’attends ta caresse ;
je suis heureuse que tu ai gagné mon utilisation au jeu souffla t elle
-Es tu bonne ? demandai je
-Le Maître m’utilisera et me le dira, je vais essayer d’être bonne, répondit elle
- Sera-t-il nécessaire de te fouetter ? demandai je
Vous les hommes vous ne comprenez même pas la totalité du pouvoir que vous exercez sur vos esclaves. L’asservissement n’est pas seulement une
condition, c’est un mode de vie. La femme n’est pas esclave seulement quand vous la saisissez et la jetez à vos pieds Elle est également esclave avant et après soumise à votre volonté, et elle le sait. L’esclavage recèle une intégrité, une totalité, une beauté de l’être
de la femme dont, malheureusement, tu n’as apparemment pas conscience. Quand une femme est asservie tout son être est asservi.
Telle est sa nature. Oh je pourrais te parler du besoin d’épanouissement sentimental, de sécurité, de passion, de punition ; du besoin d’être liée, dans le bonheur, à un personnage masculin
puissant face à qui elle sait, véritablement dans l’intimité de son être, qu’elle est une femelle et qu’elle lui appartient ; de le disparition de l’égoïsme, de l’ambition, de
l’avidité ; du besoin d’amour, du désir de plaire
et de servir ; de la volonté intrinsèque de se
soumettre à un organisme dominant impitoyable ; du
désir profond d’être belle et séduisante, que les hommes auront envie d’elle, qu’ils la possèderont et la contraindront à tout donner ; mais toutes ces choses ne sont elles pas des mots futiles,
extérieurs aux émotions indicibles que la femme ressent réellement quand elle est à genoux devant son maître et qu’il la caresse

Quand ils se rencontrent,ils le sentent.
Elle s’agenouille devant lui et accepte de lui appartenir
L’asservissement n’est pas seulement tes caresses, mais il ne serait rien sans tes caresses.
Je n’ai plus peur maintenant, Tu seras avec moi.
Oh Maître, tu as sur moi, tous les pouvoirs !
"
JIM