Jim et Niagara
L’éducation d’une esclave, comme le dressage d’un animal, est en général une tâche difficile exigeant de la patience, du temps, de la perspicacité et de la sévérité. Sura


La cage de stimulation est une cage aux barreaux sculptés, basse de plafond ; elle est plutôt grande, en dehors du plafond bas, qui se trouve à environ un mètre cinquante du sol. La femme ne peut se lever sans baisser la tête en signe de soumission. Dans une telle cage, et pendant la formation, quand elle n’est pas dans la cage, la femme logée


Le conditionnement était subtil autant que grossier car il ne se limitait pas à la combinaison d’un système de punitions et de récompenses; on inculquait également aux jeunes femmes une image et une conception d’elles-mêmes. Cela commença, sous une forme rudimentaire, dans les deux premières semaines de leur éducation. Pendant la première semaine, curieusement, les élèves ne faisaient que rester à genoux, dans la position de l’Esclave de Plaisir, pendant plusieurs ahns par jour, devant un grand miroir. Pendant cette période, elles ne portaient que leur collier et, dans le cas de Phyllis et de Virginia, l’anneau qu’elles avaient à la cheville gauche. Le but de cet exercice, c’est du moins ce qu’Elisabeth et moi supposions, était d’accoutumer les jeunes femmes à se considérer comme des esclaves. Pendant la seconde semaine, agenouillées de la même manière, elles avaient dû répéter la phrase rituelle suivante : " Je suis une esclave. Je suis une esclave. Je suis (Les Assassins de Gor)

L’éducation des esclaves se poursuivit. Elle en arriva, après une période entièrement consacrée aux exercices, à des éléments tels que l’attitude, la démarche, la manière de s’agenouiller, de s’allonger, de manger, de boire. La grâce et la beauté, suivant Sura, et je ne mettrai pas en doute sa compétence sans ce domaine, sont avant tout une question d’expression du corps aussi bien que du visage. (Les Assassins de Gor)

qu’Elisabeth apprenait de nombreuses choses qui, de mon point de vue, étaient beaucoup plus nécessaires à une esclave, notamment de nombreuses danses, des douzaines de chansons et

une incroyable quantité de caresses et de baisers différents. Les diverses techniques de son répertoire, qui la rendait théoriquement capable de procurer des plaisirs délectables à n’importe qui, de l’Ubar au Paysan, sont beaucoup trop complexes et élaborées pour qu’il me soit possible de les exposer ici. Toutefois, je ne crois pas en avoir oublié une seule.