Jim et Niagara
Extraits « des esclaves de Gor »

Notre éducation dans les cages arrivait à son terme. Nos corps, magnifiquement exercés, étaient indubitablement devenus
des corps d’esclaves. Dans nos corps étaient imprimés des mouvements mystérieux dont, pour l’essentiel, nous n’avions plus conscience, signaux subtils de désir, de passion, d’obéissance à la
caresse masculine.
Il s’agit de mouvements minuscules, presque imperceptibles qui pourtant, dans l’impression d’ensemble qu’ils produisent rendent un corps de femme incroyablement sensuel ; c’est une manière
de regarder, une manière de lever la tête, des choses subtiles telles que la flexion du diaphragme, les petits mouvements craintifs des épaules, qui indiquent que l’esclave, conformément à son
statut, est une proie sans défense ; nous apprîmes à

interpréter les mouvements des hommes, à comprendre leurs envies et leurs désirs. Elle sait quand il ne la désire pas et
lorsqu’il la désire, elle lui indique qu’elle est prête et va à lui. Certains maîtres ne saisissent pas l’étendue de cette éducation. Il se la représentent généralement en termes triviaux comme
par exemple, l’aptitude à exécuter les danses de plusieurs cités et la connaissance des arts de l’amour pratiqués dans ces mêmes cités. Ils ignorent souvent qu’elle a appris à lire ses désirs,
comme un animal , sur son corps, et à les servir promptement avec tact et ferveur….
je croisai les poignets sous moi et posai la tête par terre, exposant mon dos courbé. C’est la position soumise de l’esclave sur le point d’être punie…

je tombai à genoux devant lui, assise sur les talons, les bras tendus vers lui, les poignetes croisés, dans la position où ils sont généralement attachés, la tête entre les bras
Je tombai à genoux et posai le front par terre. Je n'étais qu'une esclave qui avait été punie et le serait à nouveau en cas de nécessité

Je m'appliquais aux arts de l'esclave car telle est ma position
J'appris à danser, à donner du plaisir, à me tenir droite, à bouger, à m'asseoir, à me

Les anneaux que nous avions dans le nez ne seraient retirés que le jour où nous quitterions les cages. Nous étions des filles aux oreilles percées, nous comptions parmi les esclaves les plus désirables. L'instructrice nous fouettait en cas d'échec

Demain , un homme me possèderait...entièrement. Je serais sienne, selon le droit du Collier, conformèment aux lois de Gor, et il pourrait disposer de moi à sa guise
Je n'osai pas regarder mon maître dans les yeux. Les clochettes de mon collier tintèrent,lorsque j'obéis. je le regardai dans les yeux et, presque immédiatement, ne

pus m'empécher de baisser la tête. je me sentais petite et impuissante.
Dans le tintement des clochettes, avec un cri de désespoir, je fus jetée sur les fourrures
-Déshabillez la
-non ! non sanglota-t-elle
On lui retira les bandes de cuir et on lui arracha ses vêtements
Elle fut solidement attachée à la grande roue arrière d’un des chariots. Sa cuisse droite en particuliers. J’assistai à son marquage. Elle hurla à tout rompre, la tête rejetée en arrière. Puis elle sanglota la joue contre le bord de la roue. La nouvelle esclave pris ensuite place à l’avant de notre chariot. On lui attacha les poignets et les
