Jim et Niagara
Ce que nous appelons le progrès (qui est en fait la multiplication de besoins nouveaux non nécessaires) a créé une non
communication entre les êtres et nous conduit à une situation où la solitude alourdit le poids des destins . qui dit solitude non assumée dit compensation démesurée et l'engrenage
matèriel se met en route avec sa cohorte de désillusions. L"avoir plus" n'a jamais amené le bonheur car aucune
solutions à nos problèmes ne peut venir de l'exterieur. la clef est en soi même, dans une libération progressive de la personnalité intèrieure de chacun. La femme place l'amour au premier plan de
ses aspirations car tout son être le réclame, alors que l'homme est davantage porté à réaliser d'abord son idéal intellectuel, matériel ou mystique avant son affectivité. Se rejoindre parait donc
difficile, et d'autant plus que la socièté s'emploie complaisamment à séparer les individus: c'est beaucoup plus rentables paraît il.
L'homme n'est pas supérieur à la femme et la femme n'est pas supérieure à
l'homme; ils ne sont même pas à comparer puisqu'ils sont complèmentaires dans l'Absolu et possèdent des polarités
inverses.
Pour que le couple D/s soit vraiment réalisé, il faut qu'il s'équilibre autour de trois axes qui, en réalité, ne font qu'un:
La sexualité
l'amour (ou communication des consciences)
la spiritualité (ou idéal)
On aime chez l'autre un corps, un sourire, un regard..., mais il faut savoir aussi aimer une âme pour comprendre une pensée. L'amour ne saurait être réduit à un "produit" dans une conception de l'autre faite plus de sensations que de sentiments.
Parler, écouter, communiquer, ressentir, savoir toucher l'autre pour mieux le comprendre, voilà les efforts à faire, voilà le chemin à suivre.
VIVRE C'EST AIMER, C'EST SE DONNER A L'AUTRE
Vivre c'est reconnaître l'autre dans son authenticité, c'est la paix retrouvée aprés la lutte, la sérénité aprés les écueils franchis et la joie vécue dans une alchimie hiérarchisée amoureuse, physique, psychologique et spirituelle qui dynamise tout ce qu'elle approche
Le Maître a besoin de l'esclave
L'esclave a besoin du Maître
Rien n'est clivé si ce n'est en apparence, et la relation Maître / esclave doit s'intègrer tout naturellement dans le contexte de l'existence comme un moyen de communication, d'expression et de réalisation de soi et de l'autre. Un art de vivre autour duquel tricoter une relation affective et sexuelle proche de nos essences propres.
Une relation perverse dira la majorité hurlante. Effectivement nous sommes pervers au sens où nous détournons l'énergie sexuelle de son premier but "génital" qui est la conservation de l'espèce. Par sa pratique épuré de nos scories inconscientes, le sexe s'affranchit des aliénations de la sexualité, devient source de libération, tremplin vers les plus hauts états de conscience, vers la réconciliation de nos êtres:
celle du Yin au contact du Yang et réciproquement.

L'homme n'est pas supérieur à la femme et la femme n'est pas supérieure à

Pour que le couple D/s soit vraiment réalisé, il faut qu'il s'équilibre autour de trois axes qui, en réalité, ne font qu'un:
La sexualité
l'amour (ou communication des consciences)
la spiritualité (ou idéal)
On aime chez l'autre un corps, un sourire, un regard..., mais il faut savoir aussi aimer une âme pour comprendre une pensée. L'amour ne saurait être réduit à un "produit" dans une conception de l'autre faite plus de sensations que de sentiments.
Parler, écouter, communiquer, ressentir, savoir toucher l'autre pour mieux le comprendre, voilà les efforts à faire, voilà le chemin à suivre.

Vivre c'est reconnaître l'autre dans son authenticité, c'est la paix retrouvée aprés la lutte, la sérénité aprés les écueils franchis et la joie vécue dans une alchimie hiérarchisée amoureuse, physique, psychologique et spirituelle qui dynamise tout ce qu'elle approche
Le Maître a besoin de l'esclave
L'esclave a besoin du Maître

Rien n'est clivé si ce n'est en apparence, et la relation Maître / esclave doit s'intègrer tout naturellement dans le contexte de l'existence comme un moyen de communication, d'expression et de réalisation de soi et de l'autre. Un art de vivre autour duquel tricoter une relation affective et sexuelle proche de nos essences propres.
Une relation perverse dira la majorité hurlante. Effectivement nous sommes pervers au sens où nous détournons l'énergie sexuelle de son premier but "génital" qui est la conservation de l'espèce. Par sa pratique épuré de nos scories inconscientes, le sexe s'affranchit des aliénations de la sexualité, devient source de libération, tremplin vers les plus hauts états de conscience, vers la réconciliation de nos êtres:

Lun 5 mai 2008
Aucun commentaire