Mercredi 1 octobre 3 01 /10 /Oct 16:06
Le texte ci-aprés extrait des "Nomades de Gor" exprime de manière métaphorique à la perfection le combat qui se mène dans toute soumise en lutte avec elle même; en proie à ses pulsions, son inconscient qui paradoxalement ne la libèrera que dans les chaines.

DEVIENS CE QUE TU ES

Le combat de toute une vie non ?


"-Arrêtez, je vous en prie implora t elle
-Pourquoi ?
-vous ête en train de faire de moi une esclave
-C'est sans doute ce que vous souhaitez , céder totalement comme une esclave
-Je ne veux pas être esclave
pourtant lorsque j'eu effleuré ses splendeurs les plus intimes, elle ne parvint plus à se dominer et se tordit sous moi, éprouvant les sentiments d'une esclave, car telle était bien en ce moment la belle Elisabeth Cardwell, mienne, sans défense, femelle et esclave.
Maintenant, ses lévres, ses bras, son corrps n'appartenaient plus qu'à une fille énamourée, et recherchaient mon propre être, reconnaissant sans réserve, sans honte et sans espoir, dans l'abandon parfait, que j'étais son Maître.
-J'ai peur
-Il ne faut pas
-Je me sens possédée
-Tu l'es
-Il faut me laisser, me lâcher! je vous en prie!
-On dit sur Gor qu'une femme qui porte un collier ne peut être que femme
Elle détourna la tête pour me cacher ses larmes
L'instant était venu; aussi, les yeux dans les yeux, lui dis je d'un ton sauvage et méprisant, selon les rites de soumission de Gor:
-Esclave!
Ses yeux trahirent  l'horreur et elle protesta:
-Non! se cabrant sous moi avec l'envie de lutter, à la fois impuissante et farouche, déchaînée, avec l'envie de me tuer si elle avait pu.
Je savais que nous en arriverions là et je la laissai se débattre, mordre, griffer, crier, puis je la fis taire sous le baiser du Maître et j'acceptai la reddition qu'elle ne pouvait éviter
-Une esclave, fit elle en pleurant, une esclave...je ne suis qu'une esclave !
Plus d'une ahn après, elle était encore dans mes bras, sur le tapis, et ses yeux étaient remplis de larmes
-Je sais maintenant ce que veux dire être l'esclave d'un Maître, dit elle
Je restai silencieux
-Et bien que je sois esclave, poursuivit elle, je me sens libre pour la première fois de ma vie
-Pour la première fois de ta vie tu es une femme
-J'aime être une femme, je suis heureuse d'être une femme, Tarl Cabot, heureuse!
Elle sourit en tripotant son collier
-Je suis la femme de Tarl Cabot
- Mon esclave rectifiai je
-Oui, ton esclave, avoua t elle
et puis comme je m'y attendais, elle s'agenouilla d'un coup, tête baissée, bras étendus, poignets croisés, se soumettant comme une femelle de gor
-Passez moi le collier
Selon les goréens, la femme ne peut respecter que l'homme qui a su la conduire à la défaite la plus absolue, qui ne lui a laissé d'autre choix que celui de capituler dans les bras de celui qui la tient prisonnière"


Par niagara - Publié dans : textes
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