traumatismes qui influent sur le développement ultérieur de la personnalité. Le
corps, exposé à la honte, en conserve de profondes blessures qui ne cicatrisent pas facilement; Les humiliations physiques subies durant l'enfance ont des conséquences désastreuses et durables.
Elles blessent non seulement sur le moment, mais tout au long du cycle de vie adulte, venant parasiter,voire ruiner, certains
domaines de l'existence censés procurer du plaisir, comme la sexualité. ; La conception
(l'hypothése ?) psychanalytique nous apprends à quel point certaines expériences vécues trés tôt dans la vie peuvent marquer au fer rouge le cortex du cerveau, forçant l'esprit à trouver une
solution pour soulager la douleur suscitée par le souvenir traumatique. Lorsqu'on a souffert d'un traumatisme (physique, sexuel ou psychologique), on n'échappe pas à ce
traumatisme: c'est là malheureusement l'une des
affirmations les plus avérées de la psychologie humaine. Un traumatisme originel trouvera toujours le moyen de se manifester d'une façon ou d'une autre. Une personne plus robuste du point de vue
affectif, plus "résiliente", aura plus de facilité à vivre avec, mais personne ne saurait s'y soustraire intègralement. Nos fantasmes constituent l'un des nombreux domaines où nos traumatismes se
plaisent à refaire surface, nous rappelant sans cesse, quoique de manière inconsciente, leur impact dévastateur. nous aimerions tous croire que nous sommes les architectes
de notre propre destin, que nous
choisissons notre chemin dans l'existence, que nous décidons de nos préférences érotiques. En définitive c'est une illusion, la plus grande en vérité, de croire que nous contrôlons notre sexualité.
Nos pulsions sexuelles et nos fantasmes sont souvent créés à notre corps défendant, par des impressions extérieures remontant à notre enfance.Ainsi savoir que la lumière que nous dégageons n'est qu'un effet de l'ombre que nous nous efforçons de dissimuler est la porte qui nous permet
d'être nous même, à l'image de ce que l'on a fait de nous, de l'étincelle divine qui nous habite
à "l'insu de notre plein gré". notre sexualité "nous parle". L'essentiel est toujours de travailler sur nous même pour être "meilleur"; et pour cela les chemins les plus obscurs, les pentes les
plus abruptes permettent souvent d'aller loin; là où les autres ne s'aventurent que rarement. Souvent (voire tout le temps) le BDSM a pour fonction première d'exprimer un conflit psychologique,
irrésolu, faute d'analyse. On peut ne pas aimer ce que l'on est mais il est trés dangeureux de ne pas le comprendre. Si nous sommes à l'image de Dieu et s'il existe,dirait Woody Allen,
j'espère
qu'il a une excuse, en tout cas je
suis persuadé qu'il ne joue pas aux dés. C'est en affrontant nos contradictions profondes et latentes que nous nous inventerons humains, fragiles et toujours perfectibles. "Primum non nocere" :
Fais ce que veux mais que nul ne soit lésé.Aussi avant de juger, déblatèrer, lisez vraiement ce qui est écrit et non ce que vous voulez y lire
Souvenez vous du message Christique et ensuite que celui qui n'a jamais pêché, jette la première pierre

Depuis des décennies, la notion d'égalité a pris divers visages. du légitime combat pour rendre aux femmes leur place dans la socièté aux dérapages de type
marxistes qui aboutissent au déplacement de la lutte des classes vers la guerre des genres. Les femmes ont eu des places de pouvoir et des périodes d'égalité relativement longue durant
l'histoire, dans la civilisation Celte notamment.
guerriers, les chasseurs (éduqués
pour cela par leurs mères) ne sont pas pour autant des prédateurs.
prévalent. Un monde binaire, simple, rustre qui parle à notre inconscient et à notre cerveau reptilien
leur âme dans les bras d'une femme
où sont les hommes
attend d'elle plutôt que de l'éloigner de ce que l'on ne veut plus voir en elle.
ourra
s'évacuer, se résorber que dans une jouissance corrélée à un service satifaisant. Le fait de servir sera ainsi renforcé par la jouissance associée créant un cercle vicieux pour la Kajira et
vertueux pour son Maître qui verra celle-ci réclamer de pouvoir servir pour pouvoir jouir tout en étant condamnée à une constante qualité de service. En actionnant ce levier, la notion de punition
passe au second plan ainsi que la notion de SM qui est supplantée par la relation D/s qui croît proportionnellement à cette regression. Ainsi votre kajira sera certes dépendante mais sans jamais
verser dans le masochisme et son engrenage addictif amené par la sécrétion d'endorphines. Ainsi la relation sera plus
cérébrale (le plaisir de servir, d'être prise) et moins physique. Un conditionnement
s'opèrant donc sur la répétition et les rituels plus que sur des séances liées à des sensations fortes. Tout étant question d'adaptation : assimilation / plier mais aussi accomodation / se plier.
Attention à bien respecter votre kajira car entre le poison et le remède, tout est une question de dosage. L'empathie est essentielle et indissociable de mon point de vue de la fermeté. Souvent
éduquer une kajira revient à guider un éléphant dans un magasin de
rcelaine alors prudence car souvent le
plus précieux est aussi le plus fragile. Ce qui est indestructible à l'état solide peut devenir insaisissable à l'état liquide voire explosif à l'état gazeux aussi réglez bien vos thermostats
et surveillez vos soupapes de sécurité. De même que vous ne laissez, par exemple, jamais du lait seul sur le feu, vous ne devez laissez seule vote kajira entre les pattes d'un autre. Enfin pensez
que plus le bambou est grand plus il peut plier bas, il vous faudra entretenir votre propre souplesse comportementale, comprendre les ressorts psycho affectifs à manipuler pour faire levier
et accroître la souplesse de votre bambou (kajira) pour in fine la faire plier à votre convenance afin de lui donner la forme souhaitée.
Ma chérie
grand » ; le nôtre se fortifie et les contingences de la vie ne sauront en avoir raison tant ensemble c’est tout.
mutuellement nos cicatrices, apaisant nos doutes au brasier de nos corps ; debout face au vent du destin, gourmand du festin de la vie qui nous consume pour mieux nous faire renaître de nos
cendres.
était normal
dans sa situation, et inclina la tête
Esclaves de Passion
louées à l'heure dans les tavernes de Ko ro ba , Esclaves de Plaisir que l'on
pour inventer notre temps. Tu es la chair vive de mes mots.
Je ne t’ai pas imaginée. Vienne la cinquième saison l’éblouie l’intemporelle la rebelle. L’inouïe saison de l’appartenance.
l’appartenance à la terre et au feu ce dialogue avec la
lune qui montait des entrailles des femmes pour inventer la pluie et les moissons. Tout cela que les envahisseurs en complets gris ne sauront enfermer sur leurs disquettes imiter avec leurs
logiciels ni engloutir dans le libre échange du vide.
L’éblouie l’intemporelle la rebelle. L’inouïe saison de
l’appartenance. Mémoire séditieuse. Poing fermé sur le dur refus de mourir. Rose des vents rose de vie je ne saurais autrement te dire le pays qui nous ressemble. Le poème qui nous rassemble en
ce temps de reniement. De contagion du néant.
sens Goréen du terme, une esclave d’amour attachée de son plein gré à son Maître, soucieuse de l’honorer en
toutes circonstances, servante de ses désirs pour son propre plaisir qui est aussi dorénavant celui de le satisfaire ; tout simplement parce qu'elle aime son Maître...Obéissante
elle sait se reconnaître dans son statut de Soumise. Ainsi l’amour est et doit rester la clé.
soi, amour de la vie. Il n'y a pas de plus grand amour que
dans le don de soi. Il n'y a pas de plus grand bonheur que celui qui surmonte la peine. Il n'y a pas de plus grande jouissance que celle qui sublime la souffrance.
à elle, par et pour LUI. Celui là devient
Maître et perdra ce pouvoir si ce don lui est repris
dangereux, notamment pour les Maîtres qui
peuvent s’évader dans un fantasme inconscient de pouvoir sans limite et donc psychotique, aliénant et addictif. Souvenons nous que la jouissance sans limites est la fossoyeuse du Désir et que
sans ce manque qu'est le Désir nous sortons de la réalité. Attention donc, la kajira qui s’en remet à nous, donne quelque chose de précieux, profond, une victoire sur elle-même, celle de
pouvoir réaliser et assumer sa nature profonde. La force d’assumer son être essentiel. Elle offre un cœur et un amour avant un corps et une servitude. Tout Maître digne de ce nom se doit de
donner, rendre plutôt, au diapason de ce qui lui est offert ; Tout cadeau engage celui qui le reçoit. Respectez les trois R : respect de l’autre, respect de vous-même et respect de vos
actes.
La pouliche est indéniablement cravachée par celui qui la monte.
On récolte
toujours ce que l’on s’aime et par conséquent notre Etre attire les circonstances de notre vie…. Et toi comment as-tu dis à ta kajira que tu l’aimais aujourd’hui ?
A pas feutre, j'ai penetré votre monde
rsque votre regard s'est arrete sur le mien.....