J'amerais vivre une journée de chienne Maître. Je fantasme souvent à ce sujet.
Dès le reveil, je suis une petite chienne, la vôtre, je me comporte donc comme un animal avec tout ce que cela comporte.
Je me réveille et vous lècherai la main pour vous faire ouvrir les paupières.
je reste bien entendue nue,toute la journée
Vous me passez le collier et la laisse et l'on sort dans le jardin pour que je puisse y faire mes besoins Je m'accroupis dans l'herbe et l'urine coule entre mes cuisses. ensuite rentrés a la maison, vous me donnez l'ordre de me coucher sur mon tapis pendant que vous prenez votre douche.
Puis, je vous regarde prendre votre petit déjeuner, croissants et café, mmmmmmmmmm j'en meurs d'envie aussi mais pour
moi, c'est une gamelle remplie de pain trempé dans du lait et de l'eau fraiche a profusion dans la seconde gamelle.
Après le petit dejeuner, vous devez vous absenter. je reste seule a la maison . Pour éviter que je ne fasses des dégats et pipi partout, vous avez prévu un endroit clos , une sorte de cage ou de niche fermée ou je dois vous attendre sagement. Vous me quittez avec seulement une petite caresse sur la tête, que c'est dur d'être une chienne!
Les heures me semblent longues, j'en profite pour me reposer;
ah j'entend la clé dans la serrure, je suis tellement contente que vous êtes là, j'ai envie de parler, mais une chienne ne parle pas, et je viens me frotter contre vos jambes pour vous montrer combien vous m'avez manqué.
Il est midi, c'est l'heure du casse croute, mais avant , sortie pipi, je me degourdis les pattes et vous me jettez plusieurs fois la petite balle que je dois vous ramener, un peu d'excercice pour la chienne.
vous mangez un énorme sandwich, et me jettez quelques morceaux de pain. Je ne mange que deux repas par jour.
j'ai soif et je vais laper l'eau de ma gamelle.
J'ai très envie de vous parler et de vous dire ce que je ressens, j'essaie de vous dire un ou deux mots mais la badine claque sur ma croupe pour me faire cmprendre que je peux juste aboyer.
L'apès midi vous avez décide d'inviter une amie commune . Je suis très génée quand elle arrive dans la pièce ou j'attends sagement sur mon tapis avec mon jouet. Elle vient me caresser la tête et me complimente sur ma docilité.
Je suis rouge de honte , mais je lis la fierté au fond de vos yeux et cela m'encourage; Je vous entends parler et rire, je suis jalouse évidemment de ne pouvoir participer à la conversation.
Vous m'ignorez completement , c'est très éprouvant .
Je commence a avoir faim et j'essaie de vous le faire comprendre mais une chienne mange à heures regulières et malgres votre pitiè, vous ne craquez pas .
Finalement , je suis contente que la dame s'en aille , enfin vous allez vous occuper de moi.
Une sortie pipi au jardin, l'air est frais le soir, on rentre vite et vous preparez le repas. Curieuse, je viens poser ma truffe sur le bord de la table de la cuisine, mmmmmmmm ca s'ent bon.
pendant le repas, vous me faites passer sous la table et je dois lecher vos pieds . je m'applique car j'aimerais une
bonne gamelle, j'ai faim.
La gamelle est pleine de purée melangée à du steak hache. Je mange goulument et ensuite , je dois me coucher à nouveau sur mo tapis.
Vous allumez la télé et sirotez un petit rhum. . Je vous regarde et parfois nos regards se croisent, vous me caressez la tete et m'annoncez l'heure du bain.
a 4 pattes dans la baignoire, vous me frottez energiquement partout , y compris les cheveux,
Vous me frictionnez avec une serviette seche et me brossez lez cheveux;
ensuite vous m'annoncez que si je dois pisser la nuit , c'est sur le journal et je m'allonge à terre au bout de votre
lit. Je suis attachée au montant par la laisse . J'ai un peu de mal a m'endormir mais je suis heureuse d'avoir ete chienne jusqu'au bout.....

esclave.
surement, j'ai toujours
l'esprit rebelle mais je me force à le combattre.
jour ou deux avant d'avoir à réclamer). Comme je prends par ailleurs de plus en plus de plaisir à le caresser et à lui
sucer les tétons, ce simple fait me comble d'une certaine façon et m'éxonère de jouissance; de même que quand je suis réveillée en pleine nuit, j'aime cet instant où il pénètre mon sommeil
par derrière.
accepter les remarques sans pouvoir me justifier. En effet, pour peu qu'elles me paraissent injustes, je ne peux les accepter
sans rechigner. Mon besoin de justice doit surement remonter à loin en arrière et c'est bien tout le sel de notre relation que de pouvoir travailler cela pour enfin m'abandonner à
l'Autre. Je réalise que j'accepte aujourd'hui enfin d'être aimée, me sentir aimée et protégée ;et ce n'est pas là le moindre de mes progrés
physiologique. On pourrait parler
d'éjculatrices féminines car ce sont bien des éjaculations à répétition avec plus ou moins de volume liquide expulsé (hé oui les femmes aussi ont une prostate). Pas de l'urine mais un liquide lymphatique plus neutre, plus ou moins important et clair selon les circonstances.
excitation et une pénétration vaginale et
maintenant de plus en plus anale chez Niagara. Je sais comment faire sortir le "jus" de ma Chérie; la rendre impuissante , offerte , la faire couler de plaisir, aussi longtemps et autant de fois
que désiré. Elle est la première partenaire à avoir cette particularité, entre autres, et c'est sublime de la sentir se vider sous soi, de la voir s'abandonner, se liquéfier réellement. Bien
évidemment
cela demande un minimum de préparation afin d'anticiper et protéger la literie qui, elle pour le coup, souffre
vraiment.
concubinage, n’a rendu que plus facile la perpétuation du droit conféré à l’homme, par l’homme, de disposer de plusieurs femmes pour sa jouissance sexuelle. Entre le droit et la
pratique, s’inscrivait cependant dans les pays musulmans le clivage de l’argent : tout comme la possession de plusieurs épouses libres, celle de concubines esclaves variait selon la
richesse. Il en allait de même de la qualité attribuée aux concubines selon leur origine géographique, reflet affiché d’un racisme bien ancré dans les mentalités. Aux
XIXe-XXe siècles, de l’Egypte à la Turquie et à la Péninsule d’Arabie, les esclaves blanches étaient les plus chères sur le marché, et seuls les plus riches pouvaient se
permettre les mythiques Circassiennes ; les moins fortunés devaient se contenter des Abyssines au teint foncé, tandis que les couches modestes de la société ne pouvaient se permettre que des
esclaves noires.
restreinte de privilégiées, elles étaient servantes, dévolues à tous les services, y compris le service sexuel. L’âge moyen
des esclaves à l’achat était de vingt ans, et les prix les plus hauts correspondaient à la tranche d’âge quinze-vingt ans. On voulait des esclaves jeunes parce qu’on espérait exploiter leurs
services le plus longtemps possible ; un souci de bon investissement. Mais cette raison n’était peut-être pas la seule : s’y ajoutaient l’attraction sexuelle que ces jeunes corps
exerçaient sur leurs propriétaires de sexe masculin, et la moindre résistance qu’une jeune fille pourrait opposer à ses exigences.