mais a tout moment tu peux rompre ce lien de vassalité qui ne dépend que de toi.
Je veux que ce soit ta volonté qui te donne à moi, non ta faiblesse."
"La mesure de l'Amour est d'aimer sans mesure"
St Augustin
Applique cela à ta soumission.
D'ou me vient ce comportement, ce besoin de servitude, de soumission et de dépendance?
Cette question je ne me la posais pas quand j'etais adolescente.
Je revais d'être soumise mais je n'en parlais à personne.
Après avoir expérimenté dans le silence , j'ai peu à peu découvert que je n'étais pas la seule qui ressentait l'envie de se soumettre et en éprouvait du plaisir.
Pour la petite histoire, mes parents ont eu quatre filles. Je suis la seconde de la tribu.
j'ai recu une éducation assez stricte.
Peu de place pour l'imprévu.
C'est ma mère qui gérait le quotidien et m'a inculqué "les bonnes manières"
se tenir droite a table, ne pas parler a table,car seuls les grands parlent, préparer son linge sur une chaise pour le lendemain, être très ordonné sous peine de réprimandes, etc..... demander
l'autorisation pour tout;
Il paraît que j'etais une petite fille modèle obéissante , toujours souriante, toujours prête à rendre service;
mais au beau milieu de toute cette éducation que je citerais de "bourgeoise", je pense que l'essentiel a été oublié;
L'Amour!
je ne veux absolument pas dire que mes parents ne m'ont pas aimés mais que les marques d'affection m'ont énormement manquées.
Je n'ai jamais entendu un "je t'aime". aucun souvenir
je ne me souviens pas avoir ete serrée dans les bras de mo père ou de ma mère.
Ce manque a provoqué chez la petite fille qui a grandi, une recherche de témoignages d'affection, une recherche de gestes simples d'amour, de sentiment de sécurité et de protection et un énorme
besoin de dépendance affectif.
.
Quant à mon désir de soumission.
d'une part l envie de faire plaisir à l'autre, de se soumettre à ses désirs pour se sentir reconnu.
d'autre part, toujours rester la petite gamine qui obéit sans discuter , qui a peur d'être punie.
Jeune, je lisais les malheurs de sophie de la Comtesse se Ségur, et quand elle recevait la badine, je relisais plusieurs fois le paragraphe, car cela m'inondait de plaisir, je m'imaginais
recevoir le même chatiment;
ce fantasme ainsi que d'autres qui sont venus se rajouter au fil des années m'ont accompagné à chaque jouissance ;
Lorsque je suis seule, et que je me caresse, je continue à naviguer au travers de ces fantasmes qui parfois sont vecus réellement pour mon plus grand plaisir et celui de mon Maître..
Aujourd'hui,l'Amour que je vis avec mon Maître grandit au travers d'une sexualité basée sur la soumission.
Je suis épanouie, heureuse et fière d'être son esclave d'amour.
Niagara
Maître,
Tu l'as conquise
sous ton emprise
elle est devenue ta soumise
dans la confiance,
répondant a tes demandes
se mefiant des réprimandes,
elle est devenue obéissante
tu as entravé ses mains
tu as dressé ses seins
et creusé ses reins
elle est devenue ton esclave
mais cette esclave
tu l'as aimé
tu l'as choyé
tu l'as protégé
elle est pour toujours
ton esclave d'Amour
J'aime beaucoup me faire jouir en me caressant doucement le clitoris.et en laissant libre cours à mon imagination.
Cependant lors de ses absences, je suis tenue de respecter ses ordres et de satisfaire à ses envies ..
je ne peux me caresser ou jouir sans son ordre ou autorisation; en effet mon corps lui appartient désormais .
Même lorsque nous sommes réunis, cette consigne reste valable.
je dois, pour me caresser, me mettre une pince à linge aux deux tétons ainsi qu'à mes grandes lèvres; en effet pour moi désormais, plaisir doit se conjuguer avec service ou douleur
je dois, aprés chaque jouissance, dire merci à mon Maître et lui évaluer la puissance de mon orgasme sur une échelle de 1 à 10.
D'après un conte des Indiens Algonquins du Canada.
Comment Vent-du-Sud apprit à l'homme à caresser la femme
Ça s'est passé comme ça ! Grand-Manitou, le Très-Haut, l'Esprit de l'Esprit, Celui-qui-peut-tout était, de
toute éternité. Grand-Manitou était amour ; il se définissait dans l'immensité de son amour. Il créa toute chose. Soleil, Lune et Etoiles. Il créa Terre-Mère Nourricière. L'Esprit de l'Esprit,
Celui-qui-peut-tout, rêva les arbres et les plantes, les fleurs et les fruits, l'herbe et la prairie. Terre-Mère Nourricière se couvrit d'arbres et de plantes, de fleurs et de fruits, d'herbe et
de prairies. Grand-Manitou rêva de poissons et d'insectes, d'oiseaux et de reptiles et de toutes sortes d'animaux. Terre-Mère Nourricière se peupla de poissons et d'insectes, d'oiseaux et de
reptiles, et de toutes sortes d'animaux. De Fils de l'Esprit, fils et frère de Grand-Manitou, et de Grande Ourse, naquit l'Homme-en-devenir, et d'autres hommes, et d'autres femmes. L'Homme apprit
à vaincre la peur et à dompter le feu. Il apprit à se protéger du froid et se dota de vêtements. Il se regroupa avec ses semblables en wigwam. L'Homme était un guerrier. Il aimait la Femme, et
aimait lutter amoureusement avec elle. Il ne comprenait pas pourquoi la Femme était triste et insatisfaite après qu'il eut lutté amoureusement avec elle. La Femme souffrait de langueur ! Ne
chassait-il pas pour elle ? Manquait-elle de nourriture, de vêtements, de bijoux, de bois ou de parures de fête ?
Au printemps, la Femme retrouvait allant et sourire. Le soir, elle relevait la peau d'orignal du teepee avant de prendre place aux côtés de l'Homme. Au matin, il la
trouvait pensive et heureuse. L'Homme voulut en avoir le cœur net. Une nuit il fit semblant de dormir. Il vit Vent-du-Sud pénétrer dans un murmure par l'ouverture du teepee. Il vit comment il
remontait le long de la jambe de la Femme, comment il s'attardait sur le gras de la cuisse et se glissait sous la robe. Il vit comment la Femme bougeait doucement. Il l'entendit gémir. La Femme
se déshabilla pour laisser tout loisir à Vent-du-Sud d'explorer son corps. Fou de jalousie, l'Homme se dressa et tenta de frapper Vent-du-Sud, mais Vent-du-Sud se déroba aussi aisément qu'il
avait pénétré dans la tente. Alors l'Homme frappa la Femme. Le lendemain, Vent-du-Sud était de retour. L'Homme fermait toutes les ouvertures de l'habitation, mais Vent-du-Sud rentrait toujours.
Il s'introduisait par le toit, ou par le plus petit trou de la peau d'orignal et rejoignait la Femme. L'Homme entendait la Femme gémir, il la voyait se tordre sous la caresse de Vent-du-Sud. Il
voyait ses yeux révulsés, et le coin de ses lèvres mouillé de salive. Elle souriait, et une larme coulait le long de sa joue. L'Homme perdit le sommeil. Il devait chasser le jour. Il aimait la
Femme. Il était jaloux et ne pouvait abandonner la Femme à Vent-du-Sud.
L'Homme comprit ! Il comprit qu'il pouvait vaincre Vent-du-Sud en l'affrontant sur son propre terrain. Il comprit que Vent-du-Sud n'était ni son rival, ni son ennemi. Il était l'envoyé de Fils de
l'Esprit, fils et frère de Grand-Manitou, le Très-Haut, Celui-qui-peut-tout. Il était le messager de l'Esprit. L'Homme prit la peine de regarder la Femme dans sa nudité. Il s'imprégna d'elle, de
chacune de ses courbes, de la couleur de ses cheveux, de son odeur, de ses yeux mi-clos. Il la trouva belle et eut envie de lutter amoureusement avec elle. Il se fit violence et se domina. Il
caressa la jambe de la Femme comme il l'avait vu faire à Vent-du-Sud et vit les yeux de la Femme se voiler. Un peu de salive humecta ses lèvres entrouvertes. L'Homme ressentit du plaisir à
caresser la Femme. Il la sentit se ployer comme les hautes herbes de la prairie avant l'orage. Son corps frissonnait comme les eaux du lac baignant les rochers. Il se coula contre elle. Il se
mouvait au même rythme qu'elle. Il respirait au même rythme qu'elle… Il vit cet autre-chose qu'il ne comprenait pas éclairer son visage. L'autre-chose qu'il associait jusque-là à Vent-du-Sud. Le
plaisir d'amour !
Assise sur le canapé du salon, je t'attendais Maître.
Nous avions été séparés quelques jours pour obligations professionnelles. Mais tu avais déjà prévu nos retrouvailles et un texto recu le matin
me précisait que j'allais porter mon collier ce soir.
Toute la journée, j'y songeais et attendais ton retour impatiemment.
Les consignes avaient été les suivantes : t'attendre vetue de ma nuisette rose, maquillée et portant mon collier de chienne.
J'adore me préparer pour la venue de mon Maître , je sais combien il est important de respecter les ordres.
Te voilà., Je suis heureuse de retrouver mon Amour et mon Maître.
Immédiatement,Tu m'ordonnes de m'agenouiller devant toi et de plonger ma truffe de chienne entre tes jambes.J'adore cet instant et me délecte de ton parfum très épicé et muscé. A cet
instant, je te te retrouve, toi mon Maître.
OUi c'est bien l'homme que j'aime, je le respire à plein poumons , je passe mon nez sur ta bite moulée dans le calecon , puis je me dirige vers les endroits creux du pli de l'aine .
Que c'est bon de sentir la présence de son Maître.Tu me parles doucement, tu me fais répéter que je suis ta chienne et que je suis à ma
place. Ces mots me troublent à chaque fois et je sens le désir monter en moi.
Descendant ton calecon, tu me demandes de m'agenouiller maintenant sur le canapé et de te lécher les couilles .Tu as remonté ma nuisette , decouvrant ainsi mes fesses roses .
HMMMM, je devine ce qu'il va se passer dans un instant.
Ta main claque sur l'une d'elle puis sur l'autre, Je ne dis rien, je savoure, le rythme accélère et je sens le picotement de ma peau sous tes doigts.
L'esclave que je suis ne dit rien et accepte la fessée, au contraire elle remercie son Maître de s'occuper de son postérieur;
Je te signale mon envie d'uriner. Eh bien, vas chercher ta bassine ma chienne et urines devant moi.
je m'empresse et c'est les yeux dans les yeux que je t'offre la vue d'un sexe béant et impudique. Je m'applique et urine sagement devant toi.
C'est un plaisir de faire pipi devant toi Maître, Que je sois cette petite fille docile qui fait pipi devant son papa ou une chienne qui pisse quand son Maître l'y autorise. Tout cela
est très excitant Maître et je te remercie de partager cette nouvelle vie avec ton esclave Niagara
.
A suivre