Ce Week End, fût un vrai régal,
Mon Maître désirant toujours me faire plaisir avait organisé une belle rencontre féminine ce week end..
Nous étions attendus par C en soirée.
Enfin arrivés, C est venue nous accueillir . Immédiatement, elle m’a plu
Pendant l’apéritif, j’écoutais mon Maître et C qui échangeaient sur des sujets variés ;
Mon Maître semblait également heureux de cette rencontre et nos regards complices et amoureux se sont croisés à plusieurs reprises.
Je me rends compte chaque jour que je l’aime profondément, que je lui appartiens d’avantage à chaque lever de soleil. .Tout est si transparent entre nous .
J’observais notre hôtesse ; Une ceinture soulignait la finesse de sa taille, elle portait une robe rouge en coton qui laissait apparaître la naissance des seins. J’avais envie de me lever et de toucher sa jolie peau mais il fallait patienter un peu.
C nous a préparé un délicieux repas au cours duquel, j’ai participé d’avantage aux conversations et le climat était détendu et laissait présager une suite heureuse.
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Mon Maître avait placé mon bijou intime entre mes fesses , ce joli cadeau de la Saint Valentin me rappelle constamment ma place d’esclave au sein de notre relation, et permet aussi de garder une certaine souplesse de mon anus ;
En dehors de ce bijou, je ne suis pas annelée , mais je sais que c’est un projet envisagé par mon Maître auquel j’adhère parfaitement.
Le repas terminé, C nous a conduit dans la chambre d’amis.
Mon Maître m’a déshabillée , m’a ôté mon Rosebud et a ensuite invité C a nous rejoindre.
A la demande de Mon maître, j’ai tout doucement mise nue notre amie C ;
Nous nous sommes embrassés a deux puis a trois . Elle était jolie, sa peau était douce , je caressais ses petits seins dont les tétons se dressaient fièrement , puis je descendais peu a peu mes doigts vers sa chatte. Elle appréciait et se laissait aller sous nos caresses.
Allonges sur le lit, Jim l’embrassait pendant que j’étais inévitablement attirée par son entre jambe. J’avais envie de donner du
plaisir à C et je me suis mise à lécher ses lèvres , j’ai glissé ma langue sur son clitoris.
Excitée par son goût et son odeur de femme, j’accélérais la cadence et notre hôtesse n’a pas tardé a jouir ;
Je me suis ensuite laissée emportée par la douceur de mes amants.
Les heures se sont écoulées baignées par les baisers, les regards, les mains posées sur l’un ou sur l’autre, les jouissances de chacun…..
Je me suis endormie paisiblement dans les bras de mon Maître ;
Merci mon Amour pour ce partage et de m’avoir redonné le goüt des plaisirs féminins.
Je t’aime
Niagara

DEMORI
traiter nos névroses on en vient à penser que l'accumulation
d'expériences va compenser le vide ressenti en elles. C'est faux, l'expérience n'est pas ce qui nous arrive mais ce que nous faisons de ce qui nous arrive. On ne peut je pense s'engager
dans une relation D/s, avec ce qu'elle implique de don (d'un coté comme de l'autre de la laisse) ,sans être au clair avec ce qu'elle imduit de responsabilité. Tu m'as apprivoisé, tu es donc
dorénavant responsable de moi dit fort justement le Renard au Petit Prince. soyons méfiant de nous même avant tout.
toujours derrière nous alors restons ancrés à nos valeurs. L'éthique ou plutôt l'amour doivent guider les pas d'une relation aussi remuante et profonde; quoique là
encore cela ne dispense en rien d'un salutaire travail de développement personnel afin d'aller d'abord à sa propre rencontre avant de se hasarder à rencontrer et investir l'Autre sur des sentiers
aussi épineux que le BDSM. Tout est dans tout et tout se paie un jour "ce que l'homme ne peut apprendre par la sagesse; il l'apprendra par la souffrance" MelKaredech
Retour aussi à ma gamelle
puis punie pour avoir jouis sans autorisation
Mon cadeau, mon bijou intime porté fièrement sur
ordre
en route pour notre St
Valentin à nous
utilisée, possédée mais tu pourras être toi même enfin. Certes notre lien au Divin, notre voie BDSM pour nous
relier et célébrer les Dieux et les Déesses peut paraitre hermétique et barbare à des non initiés mais que diable n'est ce pas cela que nous devons porter? Notre sexualité est ainsi, elle est subie
et cela a un sens "Dieu ne joue pas aux dés" et l'Esprit souffle où il veut : "qu'as tu fais de ton don ?". Laissons notre nature profonde nous montrer la voie. Si nul n'est lésé fait ce que veux
ma chérie. notre relation doit s'appuyer sur quatre grands piliers : OSER, VOULOIR, SAVOIR, SE TAIRE c'est à dire le besoin de développper le courage, la volonté, le désir d'apprendre et la
discretion. Car il va t'en falloir du courage pour jouer aux limites, aux frontiéres de ton désir, de ton inconscient et de tes peurs archaïques mais " plus grand est le bambou, plus bas il
s'incline"; de même que plus tu vas te donner à moi plus tu vas me posséder en retour.